
Découvrez le parcours de Benoît Combes
pour en apprendre d'avantage sur Silver Fox
Il y a près de 40 ans, j’ai obtenu mon diplôme d’ingénieur, spécialité Phytopathologie et Protection des Cultures, à VétAgro Sup Clermont-Ferrand. J’étais fier du titre, mais je ne savais pas réellement comment m’en servir.
Tout ce qui comptait à mes yeux, c’était d’être dehors, de faire du terrain, et de m’occuper — si possible — de faune sauvage, petite ou grande, sur des sujets concrets, avec de vraies problématiques.
Le qualificatif du titre d’ingénieur en est le premier avantage. Pour un employeur, un ingénieur, c’est une personne capable de raisonner, de prendre ses responsabilités, et de ne pas craindre le travail pour concevoir, optimiser et développer des projets.

Mon stage de fin d’études en recherche à l’INRA de Montpellier, sur les virus des céréales, m’a permis de décrocher mon premier poste.
J’ai alors été recruté comme chargé de mission au Service de la Protection des Végétaux de Montpellier. Ma mission : trouver les moyens de protéger les vergers du sud de la France contre la dent gourmande d’un minuscule ravageur… un campagnol de 20 grammes à peine, mais redoutable.
Quelques années plus tard, on m’a confié la direction d’un bureau d’études en région Rhône-Alpes, dédié au développement et à la valorisation de la faune sauvage locale, où j’ai pu travailler sur de nombreuses espèces de mammifères et d’oiseaux, ainsi que sur leurs milieux naturels.

J’ai ensuite pris la direction d’une fédération de chasseurs dans les Pyrénées. Ce fut une expérience intense, mais aussi l’occasion de comprendre qu’un ingénieur dynamique et efficace peut, parfois, occuper une place trop importante dans un écosystème associatif.
Je suis alors parti en Languedoc-Roussillon pour créer un établissement de formation à la gestion des espaces naturels, destiné à des étudiants en fin d’études supérieures. L’idée était de former, par l’exemple et sur le terrain, les futurs environnementalistes et aménageurs à un développement humain durable, compatible avec la mise en valeur de la nature.

C’est finalement un autre appel — celui du service public — qui m’a guidé sur ma dernière grande mission : pendant 24 ans, j’ai dirigé un établissement public chargé de la surveillance et de la lutte contre les zoonoses (ces maladies qui se transmettent de l’animal à l’homme).
J’y ai accompagné des dizaines d’élèves ingénieurs en stage, avec un plaisir intact, année après année. Beaucoup s’en souviennent encore — et moi aussi. C’est ce goût de la transmission, de l’écoute, de l’accompagnement qui m’anime aujourd’hui, à travers Silver Fox.

Aujourd’hui, je suis mentor.
Je me consacre désormais à accompagner les futurs ingénieurs agro dans un moment charnière de leur parcours : la rédaction de leur mémoire de fin d’études, leur soutenance, et leur passage vers le monde professionnel.Je ne suis ni prof, ni tuteur : je suis un ingénieur de terrain avec 40 ans de vécu, de projets, de galères et de réussites à transmettre.
Etudiants, si vous souhaitez gagner du temps, gagner en efficacité, en organisation, ou tout simplement retrouver du sens dans votre travail de fin d’études : je suis là.
Écoles et responsables pédagogiques, si vous souhaitez enrichir l’expérience académique de vos étudiants grâce à des interventions axées sur le partage et la transmission du métier d’ingénieur : je suis là.
Silver Fox.
